Antoine On The Rocks

Photos et Aventures en montagne et ailleurs

Iceland – days 8&9 From Pykkvabaejarklaustur with Ice

Bon j’ai un peu de retard, mais la Bambilife(*) c’est pas de tout repos.
Nous voici donc à… Selfoss, nous ne sommes pas morts malgré les gens bizarres qui tournent autour de nous…

Dimanche 24 janvier 2016 :

On se casse de notre belle casse auto !
…à 11h…
et on longe la côte Sud dans des conditions estivales, les champs de laves sont verdoyants, le ciel d’Islande est bleuissant, c’est beau, la route est droite, c’est lénifiant.
Notre objectif du jour est… pas d’objectif…il faut juste se rapprocher de Vik pour continuer notre périple vers le Skaftafell, Jokullsarlon et Hofn (parce que là bas ça a l’air bien).
En cours de route nous faisons une pause à Seljalandfoss, une jolie cascade qui peut être photographiée de derrière, cependant, un temps mitigé et la perte de mes filtres photo m’empêchent de mettre publier des photos décentes… ce sera pour la prochaine fois.
Chemin faisant nous croisons le départ pour le Solheimajokull ainsi que le départ de la piste qui mène à l’épave du DC 10, la carcasse d’avion en bord de mer.
Nous empruntons la piste sur quelques kilomètres, le site est envahi par les chinois, qui en plus d’être populeux ne savent pas conduire (si, c’est vrai). Le site n’est pas spécialement intéressant, après quelques clichés nous décidons de revenir plus tard…
Demi tour et direction le Solheimajokull (2km tout au plus) pour aller chercher des grottes de glace (dont j’ai eu connaissance sur le net), nous ferons choux blanc mais ce sera une belle marche glaciaire entre la glace bleue et le ciel gris.
Nous achèverons la journée avec un peu de grimpe sur glacier dans du raide/déversant, à la frontale.


J’avais repéré un « emergency shelter » sur une lagune quelque part à l’Est de Vik, nous tentons donc de nous y rendre, après avoir manqué de sortir de la route sur une route glacée l’avant veille, cette fois nous manquerons de nous embourber au milieu de nulle part. Après avoir finalement rebroussé chemin, nous trouvons une église et son local technique (toujours au milieu de nulle part donc, au lieu dit Pykvabaejarklaustur (easy)). Nous passerons y passerons une très bonne nuit (8m2, 2 chiottes, 2 éviers, une sono, du chauffage, des prises, de l’eau courante!).

English Version

Sunday 24th january

We leave the famous wreckage area, the weather is good, the south coast looks like in summer. We are going toward Vik, Skaftafell and Jokullsarlon.
We cross the Seljalandfoss fall but due to the weather and the loss of my ND filters, I can’t take a decent picture… We continue our road to the DC 10 wrek. At the end of the black sand offroad, we discover a place crowded of chinese people. After few useless pictures, we decide to go back at night and give a look to the Solheimajokull glacier.

The surroundings of the glacier, and the glacier itself are full of people, most of them are doing the glacier walk tours.
We spend 2 hours looking for ice caves but it’s a dead end, finally we do some steep ice climbing by night. A snowstorm will shorten the climb and we fall back to the car.

We found a good place to sleep in Pykkvabaejarklaustur, basically it was just toilets, but very comfy toilets near a beautyful church.

Lundi 25 janvier :

Il fait beau ! Je sors de l’abri pour prendre quelques photos de l’Eglise et je m’appeçois que l’objectif n’a pas trop apprécié l’eau aux cendres de la veille… il y a de la condensation dedans, les photos sont à jeter..


Il fait encore presque beau, nous démarrons pour le Skaftafell et Jokullsarlon (le fameux lac avec les glaciers), en chemin on s’arrête photographier une jolie vallée humide, puis nous repartons…dans la tempête ! Nous passons le Skaftafell et arrivons à Jokullsarlon (à gauche après le pont, vous pouvez pas le manquer), toujours dans la tempête.
Je propose alors d’aller de l’autre côté (côté océan) pour manger et attendre une amélioration. 40 minutes plus tard, il fait « beau » et c’est parti pour l’orgie de photos sur la Crystal Bitch (oui je sais ça s’écrit pas comme ça mais j’aime bien) ! L’éclaircie sera de courte durée (1h) et nous nous rabattons rapidement sur le lac.
Il y a beaucoup moins de glace qu’en été (fonte glacière ralentie) et le temps ne nous laisse pas beaucoup l’occasion d’admirer l’immensité du Vatnajokull qui s’étend à l’horizon.


Finalement nous battons en retraite au café pour profiter du wifi et attendre la nuit.
19h, il fait nuit, mais le rivage est encore encombré de chinois… 19h30… enfin seuls…
Mais il y a un « mais »… c’est la marée, l’océan vient embrasser la dune et il faut être attentif aux vagues qui parviennent jusqu’à nos pieds !
On s’amuse bien à prendre des photos jusqu’à une nouvelle tempête de neige, le résultat n’est pas génial mais bon, c’était bien sympa quand même !

voiture, tempête de neige, Hofn, viking café près du viking village pour planter les tentes après avoir manqué de se faire prendre par la marée sur la lagune à l’Est de Hofn…

English Version

Monday 25th january

The sun is shinning ! behind the clouds, yeah… I take a few pictures of the church nearby.

The clouds are shinning… we make a stop on the road to take the last pictures of a summer looking valley on the south coast, then the storm comes! We go throuhout skaftafell and end at Jokullsarlon, the most famous place of Iceland were you can sea icebergs drifting to the ocean and crystal chunk on a black sand beach (no joke). We wait for the storm to end then it’s the hour for photographer ! till the next storm… we found refuge in the jokullsarlon’s cafe and wait for the night to come.

We go back to the beach and wait for the chinese men to leave. Once we’re alone, we discover that the ocean’s risen… however we enjoy the short time before the next storm, taking long exposure pictures, playing with the sea that tries to wet us.

Then it’s time to find a shelter again! We head toward Hofn and finally find a place to put our tents at the bottom of the Vestrahorn moutain, few kilometers East of Hofn, after avoiding to get stuck on the road of another shitty located emergency shelter!

(*) tu peux pas test

Grand Som du printemps de Noel

Raid Photo en Corse Mai 2015, le dessous des clichés !

Corse : Raid Photo de Corte à Girolata dans un Roadbook présenté par Antoine MARTIN-COCHER

antoinemc_rando_corse-55-regis-qui-a-bien-recupere-de-son-accident

Informations pratiques

 

Du 11 au 14 mai 2015

 

Calendrier :

 

Lundi 11 mai : trajet Ajaccio Corte en train, rando et bivouac à Bocca a A Croce

Mardi 12 mai : rando ; bivouac à Bocca a U Saltu

Mercredi 13 mai : rando ; nuit au gîte de Serriera

Jeudi 14 mai : rando ; retour à Ajaccio en voiture

 

 

Hébergements :

Deux bivouacs et une nuit en gîte, mais quelques bonnes adresses en plus :

http://www.gites-refuges.com/v2/detail-1466.htm

 

http://www.alivi.fr/

 

http://www.bel-ombra.com/

 

Transports :

http://www.corsicabus.org/

 

Bibliographie :

 

Cartes IGN Monte d’Oro Monte Rotondo(4251OT) et Porto (4150 OT)

 

Liens web :

 

http://www.meteofrance.com/previsions-meteo-france/corse/regi94

 

http://www.antoine-ontherocks.com/from-corte-to-girolata/

 

http://randoblogpnrc.blogspot.fr/

 

antoinemc_rando_corse-43-sous-le-capu-di-curzu-vue-sur-la-scandola

 

Introduction

 

En tant que photographe et accompagnateur en montagne, je profite de la présence d’un ami venu sur place, Regis (celui qui a failli se tuer dans les moulins de la mer de glace quelques mois plus tôt) pour tester un itinéraire atypique combinant les plus belles randonnées de Corse à la plus favorable des périodes, l’idée est d’avoir un itinéraire praticable, toujours au top en terme d’intérêt sportif et photographique et combinant des hébergements de qualité tout le long. Donc pas de sensationnalisme ni de risque en prévision ; seulement le plaisir de randonner dans le plus bel endroit du monde, ce compte rendu est là pour décrire la beauté de l’itinéraire.

 

 

en rouge : trajet en train en bleu : trajet à pied en jaune : trajet en voiture, possibilité de rejoindre Ajaccio en bateau si météo favorable

en rouge : trajet en train
en bleu : trajet à pied
en jaune : trajet en voiture, possibilité de rejoindre Ajaccio en bateau si météo favorable


Lundi 11 Mai : Ajaccio –Corte- Bocca a Croce

carte-2

 

Départ de la gare CFC d’Ajaccio(Chemins de Fer Corse) à 10h, petite visite de la Corse en wagon climatisé ; tunnel de Vizzavona, forêt de Vizzavona, Gorges du Vecchio, pont du Vecchio et arrivée à Corte vers 13h (en voiture il faut 1h30).

En Récupérant mon sac à l’arrière du wagon je constate une immense flaque au sol, mon camelback percé, mes affaires trempées, néanmoins, le soleil de plomb qui frappe la cité paoline permet de tout sécher en 30 minutes.

Après un petit café nous nous engageons dans la majestueuse vallée du Tavignano, un décors minéral unique sert de cadre grandiose à nos premières heures de montée.

Le soleil tape fort mais la fraicheur du Tavignano et des pin laricci rend la progression des plus agréables, après une petite pause pour tremper les pieds au pont de Rusulinu nous repartons en direction du refuge de la Sega (ancienne scierie), le sentier monte raide et surplombe de manière vertigineuse le fleuve en contrebas.

Nous arrivons au refuge vers 18h, après une pause coca nous décidons de poursuivre jusqu’à Bocca a Croce pour y bivouaquer.

Une superbe montée dans les asphodèles avec une belle lumière rasante pour finir la journée par une vue incomparable sur le lac de Calacuccia et la chaine du Cintu. On accroche la nourriture à l’extérieur de la tente car la région est infestée de renards qui sont connus pour leur fourberie.

 

 


Mardi 12 Mai: Bocca a Croce – Bocca a U Saltu

carte-3

 

Réveil à 6h pour prendre un petit dej rapide dans la douce lumière du petit matin, c’est pas si mal, vraiment.

Puis s’amorce la longue marche en direction de la Punta Artica, il faut environ 3h30 pour y parvenir, l’itinéraire n’apparaît pas sur la carte IGN mais est logique et offre, en plus d’une vue exceptionnelle tant sur le Rotondu que sur le Cintu, des obstacles nombreux et ludiques : canyon sur la crête de Piccone, passages enneigés sous le Capu Faccialu et le pierrier terminal pour atteindre le sommet de la Punta Artica.

Le temps est clair, la vue superbe, mais ça on est habitués, cependant si on devine les Pozzines (trous d’eau dans les pelouses alpines à la place d’un ancien lac glaciaire), le Lac de Ninu n’est pas visible du sommet.

 

Le pierrier de descente n’est guère engageant, je choisi de suivre la ligne de crête en direction de Bocca Stazzona (le col de la forge, et pas n’importe laquelle : celle du diable en personne !) alors que Régis décide de descendre directement dans un terrain plus incertain en ligne droite direction les bergeries de l’Inzecche .

Nous rejoignons lac de Ninu que nous contournons par le GR20, s’ensuit un casse croûte et une sieste dans l’herbe verdoyante au bord du lac pendant 1 ou 2 h.

Reprise laborieuse des hostilités à 14 h avec un bout de GR20 (un des plus beaux d’ailleurs avec la Serra San Tomasgiu, un magnifique chemin pavé jugé sur une crête) de Bocca a Reta jusqu’à Bocca San Petru où nous quittons le sentier pour un ancien itinéraire balisé jaune qui passe en face Sud du Capu a Rughia.

Nous y découvrons d’anciennes bergeries encastrées dans la falaise, puis nous débouchons sur une belle clairière de châtaigner en dessus de la forêt d’Aïtone vers 16h30.

Après un peu d’improvisation hors sentier (en gros aller tout droit plein nord pour recouper la route et prendre la piste des condamnés), quelques sangliers et cochons évités de justesse dans cette magnifique forêt de pins, nous arrivons au pont de Casterica, il ne reste plus qu’un petit kilomètre pour finir la journée, mais l’appel du ruisseau est plus fort, s’ensuit alors une baignade revigorante bien méritée (on a marché environ 9h et parcouru 25 bornes dans du terrain assez dégueu, sans parler du dénivelé… Nous croisons un chasseur de chauve souris en montant au refuge de Bocca a U Saltu où nous plantons la tente à équidistance des panneaux interdisant le camping devant le refuge.

 

Un repas de plus avec une belle lumière de fin de journée, aaaah… le mois de mai.

 

antoinemc_rando_corse-10-bivouac-bocca-a-croce

 

Mercredi 13 Mai: Bocca a U Saltu – Serriera

carte-4

Journée facile mais particulière ; en effet, j’avais prévu un itinéraire un peu sportif à l’aide de la seule carte IGN dans l’optique de travailler un peu l’orientation et le hors sentier en vue de ma formation pour l’AMM en fin de mois, ce secteur me semblait adapté. Fatigués de la veille nous décidons de couper court et de nous rabattre sur un itinéraire moins aléatoire. Deux semaines plus tard, il s’avère que le secteur choisi pour le raid de l’UF de l’AMM est exactement le même et que le tracé réalisé est quasiment identique à celui que j’avais imaginé ! mais tout s’est bien passé ! voir la carte pour pour le détail.

 

Dès le petit matin nous partons donc pour Bocca Cuccavera, pour amorcer une descente vertigineuse sur le ruisseau de san leonardo que nous longerons jusqu’au pont de Verghe en passant dans la forêt de san leonardo sans jamais croiser personne je réussirai à ne pas voir les ruines de l’ancienne maison forestière alors que je passe juste devant…

 

antoinemc_rando_corse-5-pont-du-rusulinu

 

La journée est laborieuse, la journée de la veille était quand même hard et j’ai mal au pieds, nous faisons une courte sieste à Bocca a Vergholu aux alentours de midi avant d’entamer une interminable descente sur une piste forestière jusqu’à Serriera, le maquis fleuri nous accompagne tout du long et nous fait un peu oublier la souffrance et la chaleur, cistes, lavandes, lys, lentisques et pins maritimes nous accompagnent jusqu’au croisement du sentier mare e monti nord, qui signifie que nous ne sommes plus qu’à 20 minutes du village et des bières ! Nous arrivons enfin vers 16h au gîte l’Alivi, une très très belle adresse pour les randonneurs, on profite de l’horaire pour faire plusieurs apéros !

On se prépare pour la longue et ultime journée qu’il nous reste à affronter, je connais l’itinéraire pour l’avoir fait l’année précédente ; il s’agit de doubler les étapes du mare e monti pour finir à Girolata.

 

Jeudi 14 Mai : Serriera- Girolata

carte-5

Petit déjeuner à 6h30, toujours aussi bien, et c’est reparti, dommage à l’inverse des autres jours le temps est couvert, c’est fort regrettable car on arrive dans un des plus beaux endroits de Corse, en période « creuse » nous ne croiserons pas grand monde à part quelques randonneurs entre Curzu et Partinello et quelques touristes vers Girolata.

 

Mais revenons au début, l’itinéraire ne présente pas de difficultés mais certaines bifurcations peuvent passer inaperçues si on ne reste pas concentré, l’an dernier j’étais parti en direction de Tuarelli en manquant la première bifurcation, et cette année nous nous égarerons dans Curzu… une fois qu’on arrive au village, surtout ne pas suivre le balisage qui redescend vers le gîte et continuer dans le haut du village, ne surtout pas se fier au balisage jaune un peu plus bas, ça ne rejoint pas !

 

Malgré le temps maussade, il fait très chaud, trop chaud, et nous n’avons plus d’eau sous le Capu di Curzu, de plus il n’y a pas de sources dans les environs vu que tout le cheminement se fait en crête. Après une petite pause casse croute sans eau nous décidons donc de descendre directement au col de la croix à la fontaine de Lipto (c’est à dire la paillote au col qui vend du liptonic et du coca…). Après cette énième pause nous reprenons la route de Girolata, ou plutôt le chemin.

Nous arrivons au port de Girolata, au cœur de la réserve de Scandola vers 15h30, la saison commence à peine, les vaches trainent sur la plage, les travaux sont en cours, la mer démontée vomit toutes les heures un bateau de touristes trempés et frigorifiés qui ont 5 minutes pour prendre un café et repartir de ce lieu maudit qui restera a jamais gravé dans leur mémoire. Nous buvons des bières à la cabane du Berger en regardant ce bien amusant spectacle.

 

La tour de Girolata est fermée au public, enfin, personne ne surveille vraiment, donc nous nous aventurons en ses murs. Il est vrai qu’elle est du moins fermée aux personnes en surpoids ; l’escalier en bois vermoulu semble crier sous nos pas et l’interstice laissé par l’entrebâillement de la porte retenue par une chaîne et un cadenas n’offre que peu de marge, mais en tant que spéléologues nous nous faufillons sans peine dans cette étroiture et inspectons les lieux..

 

Après cette visite et un petit tour du village nous retournons boire des bières en attendant le repas au restaurant le Bel Ombra, qui vient tout juste de démarrer la saison, la mer ne permettant pas un retour à Ajaccio ou Cargese le lendemain, je me débrouille pour trouver quelqu’un qui nous récupèrera au col de la croix, le rendez vous est fixé à … 23h le même jour !

C’est ainsi, qu’après un bon repas à base de gambas et de vin que nous nous élançons dans la nuit noire sur le sentier du facteur (qui longe le rivage acéré à une altitude moyenne de 100m), nous arrivons à 22h50 en nage après nous être égarés un moment… à minuit et des poussières nous sommes à Ajaccio !

 

Conclusion :

 

Un bel, voir très bel itinéraire , il faudra faire quelques arrangements pour le rendre « tout public » pour moduler la durée des efforts à la journée tout en profitant de pauses photo plus importantes. Une belle semaine sportive entre deux semaines de Canyonning. Un raid qui viendra à coup sûr s’ajouter à mon futur catalogue !

 

 

Pour plus de photos :

 

Tableau

 

catégoriemodèlemarquepourquoi ce choixretour d’expériencesi c’était à refaire
chaussuresshirazasololéger, étanche, en prévision des passages enneigés (testé dans le vercors)rien à redire, je préfère le confort des chaussures basses mais c’est personnelidem
pantalonfarley stretchvaudeléger, aération, ceinturerien à redireidem
sacair 60+15deuterpour embarquer plein plein de matos sans que ça déborde du sacsuper confortable, le portage est un plaisir, mais grand sac, même confortable signifie beaucoup de choses inutiles emportées et donc poids conséquent, donc rythme de progression diminué!idem, pas dans une optique de légèreté cependant
chaussettestrail litexsoxfiablele modèle conton est plus confortable que le modèle synthétiquecoton
vesteradikal jktmilletéprouvéevieillissanteidem
doudounecrimptasticthe north facefit, technicité, encombrement et chaleurtop mais fragile, comme toute les microdoudounesidem
frontalenaopetzpuissance, encombrement réduitras, mais pb sur des modèles précédents, SAV petzl au top comme toujoursidem
rechaudpocket rocket+titanemsrpeu emcombrant, ultra légermeilleure config jusqu’à maintenantidem
t shirtx, y et zmillettoute une gamme de t shirt en synthétiqueconfortable, durableidem
bâtonstrail liteblack diamondpas trouvé mieux pour l’instanttoujours en service, j’en change des bouts régulièrementidem
lunettesdirt zebrajulbolégère et polyvalenteles montures commencent à se décolorer et les verres, en plastique sont assez abimés, usage instensif 2 ans, et mauvais traitements manifeste…à changer, toujours chez julbo
tentehubba hubba nxmsrla plus légèretopidem
matelatrail litethermarestpoids/prix dans cette catégorieon doit faire plus léger aujourd’hui mais celui ci présentait un très bon rapport qualité prix, jamais crevé en 4 ans d’usage intensif !idem
duvet??hight coloradoc’est mon duvet de toujours, je sais pas d’où il vientduvet, en duvet, toujours opérationnel après 15 ans d’activité!idem
appareil photo5dmk3canonle meilleurras, même si un peu lourd, mais c’est un choix inaltérableidem
trepiedm280manfrottocompactcolonne centrale pas en carbone donc demeure lourdinutile, un mini trépied costaud à la rigueur
gourde3Lcamelbakgrand litragepercée dans le train, irréparable, j’utilise maintenant un tuyau « source » branché sur une bouteille plastique indestructibleplus camelbak, trop fragile
boussoleexpedition Ssilvacomplète, fiable, miroirrien à redireidem
porte carte??silvacompacte, étancherien à redire, un peu dure à fermeridem
vectorsuuntoprix raisonnable, multifonctionrien à redire, si ce n’est l’altimètre qui est parfois très sensible aux changements de pression (fréquents ici!)passerais bien sur un modèle avec cardiole même

Melo, Capitello & Goria